Apprendre l’anglais à votre enfant peut être facile et amusant !

Savoir parler l’anglais est un véritable atout de nos jours. La maitrise de l’anglais oral comme écrit peut vous faire traverser les frontières. Toutefois, l’apprentissage de cette langue peut être un casse-tête lorsqu’on est adulte. C’est pour cette raison qu’il est conseillé de l’apprendre dès le plus jeune âge. En mettant en place des stratégies ludiques, votre enfant apprendra l’anglais sans difficulté. Découvrez quelques astuces ici !

Rendez son apprentissage de l’anglais ludique grâce aux jeux

Les moments de jeux sont des occasions idéales pour favoriser l’immersion de votre enfant en anglais. Il s’amuse tout en apprenant de nouveaux mots chaque jour. En consultant www.educa-langues-enfants.com/apprendre-anglais-enfant, vous trouverez différentes méthodes d’apprentissages par les jeux. Au nombre de celles-ci, nous pouvons énumérer :

  • les jeux éducatifs ;
  • les dessins animés éducatifs ;
  • et les chansons à travers des DVD et CD, etc.

Par ces méthodes, votre enfant apprendra à écouter et répéter tout ce qu’il entend. À travers les vidéos, il associera facilement les mots aux images. Vous pourrez même lui donner des livres pour qu’il fasse travailler sa mémoire. Mais cette routine doit être progressive. L’enfant pourra passer plusieurs jours sur la même vidéo ou le même livre. L’essentiel est qu’il arrive à garder en mémoire les mots appris dans chaque jeu.

À l’occasion de courtes séances à la maison, au moment où il prend son bain par exemple, demandez-lui quels sont les nouveaux mots qu’il a appris. Vous pouvez même lui demander de citer une chanson parmi celles qu’il écoute. L’objectif est d’encourager l’enfant dans son apprentissage en suivant ses progrès et ses difficultés. Vous pouvez aussi l’accompagner en jouant à des jeux d’association de mots ou à des jeux d’imitation pour éveiller sa mémoire.

Entrez en contact avec des enfants qui parlent anglais couramment

L’apprentissage d’une langue devient plus favorable si la pratique est régulière. Il ne suffit donc pas que votre enfant dispose de jeux, livres et autres guides éducatifs pour apprendre la langue. L’astuce la plus optimale est de le laisser pratiquer la langue avec d’autres enfants de son âge. Si vous vivez avec des natifs anglais dans votre entourage, l’immersion de votre enfant sera plus rapide. Aussi, vous pouvez l’inscrire dans un club d’Anglais pour enfants. Même les amis par correspondance sont des alternatives pour permettre aux enfants de parler une langue étrangère.

Cette démarche permet de parler sans craindre les fautes d’orthographe ou de grammaire. En effet, ce défaut se remarque dans la pratique chez les adultes. La peur de faire des erreurs empêche la pratique de la langue. Ainsi, nous vous conseillons de rapprocher des enfants qui parlent couramment anglais de votre petit. Ces derniers lui apprendront les bases de la langue, et surtout la prononciation.

De plus, les enfants ont toujours quelque chose à se raconter. Par ces échanges dans un environnement immersif, votre enfant augmentera ses compétences à l’oral.

Montrez-lui des dessins animés en anglais dès son plus jeune âge

Nous savons que les enfants adorent les dessins animés. Alors, pourquoi ne pas en profiter pour lui offrir des dessins animés de son âge en anglais ? Il pourra découvrir les mots, se constituer un vocabulaire, chanter, etc.

Enfin, nous vous recommandons les dessins animés sous-titrés en anglais. Les enfants ont cette facilité à retenir ce qu’ils voient. Le matériel visuel est en effet un excellent outil pour favoriser leur apprentissage de la langue.

Pédagogie : 3 activités sur le thème de l’hiver

Vous êtes à la recherche d’activités pédagogiques sur le thème de l’hiver pour vos élèves ? Vous êtes au bon endroit. Voici 3 activités qui devraient vous aider à divertir votre salle de classe.

Un escape game pédagogique

L’escape game est un jeu qui consiste à s’échapper d’une pièce tout en résolvant des énigmes. Dans le cadre de Noël, vous pouvez organiser un escape game sur le thème de l’hiver à faire en classe pour vos élèves. Pour commencer, transformez votre salle de classe en escape room. Créez un environnement qui s’inscrit dans le thème de Noël. Installez des guirlandes, un sapin de Noël, des boîtes, etc. Vous devez ensuite créer une histoire pour lancer le jeu.

L’histoire doit tourner autour de l’hiver. Une histoire sur le père Noël est tout indiquée si l’atelier se déroule avant les fêtes. Vous pouvez par exemple créer un scénario où le père Noël a perdu la clé de sa cabane. Pour l’aider, vos écoliers devront alors résoudre des énigmes comme dans une chasse au trésor pour déverrouiller la cabane.

Fabrication d’un sapin

Vous pouvez demander à vos élèves de réaliser un sapin de Noël en papier. Chaque enfant en réalisera un modèle qu’il devra coller à un mur de la salle. Cela permet de recréer une ambiance de Noël dans la classe. Pour cette activité, vous aurez besoin du matériel suivant :

  • une paire de ciseaux,
  • de la colle,
  • des crayons de couleur,
  • de la peinture acrylique,
  • du papier de construction vert,
  • du papier de construction brun,
  • du papier RAM de couleur différente,

Pour commencer, découpez trois grands triangles dans le papier de construction vert. Les triangles doivent être de dimensions légèrement différentes. Collez ensuite les triangles. Pour cela, placez le plus grand triangle en bas. Collez ensuite le triangle de taille moyenne près du sommet du grand triangle. Enfin, collez le petit triangle sur le haut du triangle de taille moyenne. Cela représente le feuillage du sapin. Pour le tronc, il suffit de couper un grand rectangle dans le papier de construction brun. Collez-le en dessous du feuillage, en le positionnant bien au centre.

Une fois que vous obtenez la forme du sapin, vous pouvez passer à la phase de décoration. Les enfants peuvent utiliser les crayons de couleur et la peinture acrylique. Vous pouvez également découper des formes dans le panier RAM : étoile, nœud, rond, etc. Pourquoi ne pas imprimer et découper des formes plus complexes comme les cloches, le père Noël, les lutins, etc. ?

Atelier de découverte de la neige

Pour une expérience sensorielle inédite, vous pouvez amener les enfants à sortir afin de prendre de la neige pour des ateliers en classe. Vous pouvez par exemple procéder à une observation de la neige au microscope. Cela peut également être un moyen d’animer un petit cours de science sur la neige. Vous pouvez notamment procéder à un atelier peinture de neige. Une dernière idée d’activité qui rentre parfaitement dans le thème de l’hiver, vous pouvez apprendre aux enfants à fabriquer de la neige artificielle.

Le CMG, ou comment financer partiellement la garde de son enfant

Vous vous apprêtez à confier votre enfant à une nounou à domicile, une assistante maternelle ou vous envisagez de le faire garder par une micro-crèche ? Pour réduire le montant final des coûts, découvrez avec Kidsplace les aides de la Caf pour la garde d’enfants auxquelles vous pouvez prétendre : le Complément de libre choix Mode de garde ou CMG.

Le CMG, qu’est-ce que c’est ?

Le CMG (Complément de libre choix Mode de garde), est un système faisant partie de la Paje (Prestation d’accueil du jeune enfant).

C’est une prise en charge partielle par la Caf ou par la MSA des frais de garde d’enfant quand votre bambin est gardé par une personne à domicile ou une assistante maternelle, ou lorsqu’il est accueilli en micro-crèche.

On parle respectivement de CMG garde à domicile, CMG assistante maternelle et CMG micro-crèche. Le dispositif finance un maximum de 85 % des dépenses liées à la garde de votre enfant.

Quels sont les critères d’attribution du CMG ?

Le Complément de libre choix Mode de garde est alloué aux familles selon plusieurs conditions, comme l’âge de l’enfant accueilli, le mode de garde sélectionné ainsi que l’activité parentale.

Le critère de l’âge de l’enfant et du mode de garde

L’enfant doit avoir moins de 6 ans et être accueilli pendant un minimum mensuel de 16 heures.

Si vous faites appel à une assistante maternelle, cette dernière doit posséder un agrément donné par la PMI (Protection maternelle et infantile) et sa rémunération brute ne doit pas dépasser 51,25 euros journaliers. 

Dans le cadre du CMG garde d’enfant à domicile, lorsque vous recourez à une entreprise ou une association agréée qui emploie une garde d’enfant à domicile, la nounou préposée doit être habilitée. Si vous employez une garde d’enfant de manière directe, vous n’êtes pas exonéré des charges sociales. 

Si vous faites appel à une micro-crèche, le montant horaire ne doit pas excéder 10 euros.

Vous recherchez un mode de garde pour votre enfant ? Micro-crèches, nounous à domicile ou assistantes maternelles, Kidsplace trouvera la solution de garde idéale pour votre bambin.

Le critère de la situation professionnelle du ou des parents

Les familles peuvent recevoir le CMG assistante maternelle, garde à domicile ou micro-crèche si le ou les parents travaille(nt).

En couple, l’un des deux membres doit se trouver dans l’une de ces situations professionnelles :

  • Travailleur à temps complet ou non
  • Indemnisé dans le cadre d’un congé maternité, paternité, adoption, maladie ou d’un accident du travail
  • Indemnisé dans le cadre du chômage
  • En formation professionnelle rétribuée.

D’autres cas permettent de bénéficier du CMG ; il s’agit des familles où le parent isolé ou l’un des deux conjoints est dans l’une des situations suivantes :

  • Étudiant
  • En service civique
  • Bénéficiaire de l’AAH (Allocation aux adultes handicapés)
  • Allocataire du RSA (Revenu de solidarité active)
  • Chômeur percevant l’ASS (Allocation de solidarité spécifique).

Où effectuer sa demande de CMG ?

Votre devez la réaliser auprès de la Caf (ou de la MSA si vous êtes rattaché.e au régime agricole). Afin d’obtenir la totalité de l’aide financière à laquelle vous pouvez prétendre, il est préférable d’effectuer votre demande avant la fin du premier mois de garde de votre enfant. Vous pouvez la faire en ligne et simuler vos droits afin de voir à combien s’élève le montant de l’aide de la Caf CMG. Sachez qu’il vous est possible de cumuler plusieurs aides de la Caf pour la garde d’enfant si vous avez plusieurs enfants gardés et recourez à différents modes de garde.

Quel montant peut-on obtenir ?

Le montant du Complément de libre choix Mode de garde varie suivant plusieurs paramètres : les ressources de la famille, le nombre d’enfants à charge et leur âge.

Les plafonds de ressources pris en compte

Les plafonds suivants sont pris en compte pour l’attribution du CMG de la Caf, avec trois tranches différentes selon le nombre d’enfants à charge :

  • Pour 1 enfant à charge, revenus inférieurs à 21 277 euros, jusqu’à 47 283 euros et supérieurs à ce montant.
  • Pour 2 enfants à charge, revenus inférieurs à 24 297 euros, jusqu’à 53 995 euros et supérieurs à ce montant.
  • Pour 3 enfants à charge, revenus inférieurs à 27 317 euros, jusqu’à 60 707 euros et supérieurs à ce montant.

Au-delà de 3 enfants à charge, le barème prend en compte + 3 020 euros dans la première tranche des revenus, jusqu’à + 6 712 euros pour la seconde tranche, et les ressources supérieures à cette dernière somme pour la troisième tranche.

Le plafond de ressources est relevé de 40 % pour les familles monoparentales.

La prestation de base

La somme maximum allouée pour couvrir les dépenses liées à la garde de votre enfant dans le cadre du Complément de libre choix Mode de garde est déterminée pour chacune des trois tranches de ressources et selon l’âge de l’enfant.

Jusqu’en mars 2022, si votre bambin est âgé de moins de 3 ans, le montant maximum mensuel de l’aide financière octroyée sera de :

  • 860,68 euros si vous faites partie de la première tranche.
  • 741,94 euros si vous faites partie de la seconde tranche.
  • 623,23 euros si vos revenus sont plus importants.

Pour les enfants entre 3 et 6 ans, le plafond du montant du CMG s’élève à 430,34 euros ; 370,97 euros ou 311,62 euros en fonction de vos ressources.

Les différents cas de majoration du CMG

Le montant du Complément de libre choix Mode de garde peut être revu à la hausse dans plusieurs situations.

Une majoration de 10 % est appliquée en cas de garde à des horaires atypiques, entre 22 heures et 6 heures du matin, le dimanche ou pendant un jour chômé.

Une majoration de 30 % est mise en œuvre :

  • Lorsqu’au minimum l’un des deux parents perçoit l’AAH (Allocation aux adultes handicapés).
  • Si vous recevez l’AEEH (Allocation d’éducation de l’enfant handicapé).
  • Lorsque vous êtes une famille monoparentale.

Pour une micro-crèche, nounou à domicile ou assistante maternelle, Kidsplace trouvera la solution de garde idéale pour votre bambin.

En savoir plus :

Lire notre article sur la différence entre assistante maternelle et nounou.

Lien utile :

Présentation du CMG en métropole et dans les DOM, par la CAF.

Mon enfant refuse d’être gardé par une baby sitter : que faire ?

Trouver une babysitter est important pour pouvoir s’accorder quelques sorties en couple ou entre amis. Si faire garder un jeune enfant est essentiel à l’équilibre des parents, il est cependant nécessaire de préparer le petit pour éviter l’angoisse de la séparation.

En effet, de la même manière qu’on prépare son enfant à l’entrée en crèche ou à ses premières journées chez l’assistante maternelle, il existe des astuces pour lui faire accepter d’être gardé par un·e baby sitter !

Pourquoi mon enfant refuse d’être gardé par une baby sitter ?

Trouver une babysitter n’est pas toujours le problème le plus épineux lorsque vous devez faire garder votre tout jeune enfant pour vous accorder une journée de détente, vous rendre à une cérémonie ou passer une soirée à l’extérieur. De nombreux enfants refusent d’être gardés et l’expriment à l’aide de cris ou de pleurs déchirants, au point que les parents hésitent à renouveler l’expérience.

Il ne s’agit pas d’un caprice, mais bien d’une véritable anxiété chez votre petit bout. Les raisons de ce refus sont multiples :

  • L’angoisse de la séparation, ou crainte de l’abandon, qui se développe naturellement chez les enfants en bas âge
  • La crainte d’une personne inconnue
  • Le manque général de présence parentale (parents peu disponibles, longues journées de séparation)
  • Le ressenti de vos propres émotions, si vous appréhendez ou culpabilisez de laisser votre enfant aux soins d’un·e baby sitter
  • L’incompréhension, si votre enfant ne comprend pas pourquoi il ne peut pas vous accompagner.

Quel âge est le plus critique pour l’angoisse de la séparation ?

L’angoisse de la séparation survient aux alentours du 8e mois : il s’agit de la manifestation du développement naturel de l’enfant qui commence à se percevoir en tant qu’individu.

Il réalise par la même occasion que sa mère est une personne distincte, dont il est susceptible d’être séparé. Ce passage typique du 8e mois peut cependant survenir un peu plus tôt ou un peu plus tard, durer de quelques semaines à plusieurs mois, et se manifester de manière plus ou moins marquée.

Le refus d’être gardé par un ou un·e baby sitter peut bien sûr concerner des enfants plus grands, notamment entre 3 et 5 ans : c’est la période durant laquelle votre enfant pourra ne pas comprendre pourquoi vous ne souhaitez pas qu’il vienne avec vous, surtout s’il n’a pas été accoutumé au baby sitting.

Comment rassurer mon enfant avant un babysitting ?

S’il est parfois nécessaire trouver une babysitter en urgence, l’idéal est de pouvoir présenter à l’avance à votre enfant la personne qui la gardera. À défaut, demandez à la baby sitter d’arriver au moins une demi-heure avant votre départ pour effectuer une transition.

Tout particulièrement si vous faites appel à une babysitter en soirée, donnez-lui des instructions précises afin qu’elle respecte au mieux les routines auxquelles votre enfant est habitué.

Soyez vous-mêmes confiants et rassurants sur le fait que tout se passera au mieux.

Ne partez jamais en cachette : avertissez votre enfant de départ en le rassurant sur votre retour.

Félicitez votre enfant à votre retour.

Comment préparer un enfant et éviter l’angoisse de la séparation ?

Pour limiter au maximum l’angoisse de la séparation chez le tout jeune enfant, il est essentiel de prendre de bonnes habitudes dès les premiers mois de bébé. Cela passe par :

  • L’habituer à rencontrer de nouvelles personnes
  • L’habituer à rester avec d’autres personnes durant de courts instants
  • Ne pas mettre votre bébé de manière inopinée dans les bras de personnes qu’il ne connaît pas
  • Ne jamais partir sans prévenir et expliquer
  • Éviter les séparations trop longues et fréquentes, qui mettraient l’enfant dans une situation de manque et d’insécurité

Procédez progressivement, avec des gardes de courte durée les premières fois.

Faut-il renoncer à trouver une babysitter ?

Il est bénéfique pour tous de continuer à faire garder votre enfant de temps en temps, même si l’expérience est difficile à gérer les premières fois. Faire garder votre enfant régulièrement lui permettra de se préparer aux plus longues séparations à venir, pour l’entrée en maternelle notamment.

Contactez Kidsplace si vous avez besoin des services d’un·e babysitter pour le Jour de l’An ou la Saint-Valentin. Découvrez sur notre site de nombreuses annonces baby sitter pour un événement ponctuel ou une garde régulière. Mais un conseil : n’attendez-pas un événement particulier pour vous accorder du temps et habituer votre enfant au babysitting !

À qui confier son enfant pour que tout se passe au mieux ?

Pour que l’expérience de garde de votre enfant se passe au mieux, il est important de trouver un·e babysitter sérieux·se, qui a déjà l’expérience des enfants et qui saura mettre en place les routines et les règles que vous lui indiquerez.

L’idéal est de trouver une ou un baby sitter de confiance, à qui vous pourrez refaire appel et à qui votre enfant se familiarisera. La plateforme de mise en relation Kidsplace est un outil très pratique à votre service pour trouver la baby sitter de confiance. Tous les profils de babysitters sont vérifiés.

Nous pouvons aussi vous accompagner dans vos recherches afin de vous aider à trouver une babysitter rassurante pour votre enfant inquiet à l’idée d’être séparé de vous. Avec l’offre Care +, profitez d’un accès illimité à tous les profils, d’une hotline dédiée et d’une précieuse aide administrative.

En savoir plus

Sur l‘angoisse de la séparation 

Nos conseils pour trouver une baby sitter de confiance, et sur le coût d’une baby sitter.

Comment trouver une babysitter de confiance

Si le bouche-à-oreille permet parfois de dénicher la baby sitter idéale, il faut souvent compter sur la chance pour qu’elle soit disponible. Comment trouver une babysitter de confiance, qui pourra répondre présent de manière régulière et parfois dans l’urgence ? Kidsplace est à vos côtés pour vous donner des conseils de recherche et de recrutement.

Les babysitters : pour quel type de garde et quelles occasions ?

Le babysitting consiste en un service de garde d’enfant au domicile des parents. Il ne nécessite pas de diplôme spécifique ni d’agrément : la nounou ou babysitter se distingue en ceci de l’assistante maternelle, qui accueille les enfants à son propre domicile et dont l’activité est encadrée par les services médico-sociaux du département.

Le babysitting est un mode de garde différent de la crèche et de l’accueil chez une assistante maternelle : on peut avoir recours à un·e babysitter pour des temps de garde ponctuels ou réguliers, et notamment à horaires décalés, en soirée par exemple.

Solution flexible, le babysitting peut être choisi pour :

  • Quelques heures de garde ponctuelles dans l’année, pour garder vos enfants lors de vos sorties
  • Des heures de garde régulières avant et/ou après l’école
  • Des horaires de garde décalés, très tôt le matin, en soirée ou les week-ends
  • Un service de garde complet qui implique de faire manger les enfants, de les emmener à leurs activités extrascolaires, de les récupérer à la sortie de l’école, etc.

Comment trouver une baby sitter de confiance ?

Parfois grâce au bouche-à-oreille, le plus souvent en épluchant des annonces déposées ici et là dans les commerce, et en passant beaucoup de temps à vérifier les informations… Rechercher une babysitter peut relever du parcours du combattant. Pour trouver une personne de confiance, il est essentiel de rencontrer les candidat·es lors d’une phase d’entretien. Ce sera l’occasion de vérifier leurs références, de sentir si le courant passe bien avec vous-mêmes et avec votre enfant, et de poser toutes les questions utiles :

  • La motivation
  • La disponibilité (horaires, mobilité)
  • L’expérience (en général et selon l’âge des enfants)
  • Les réactions face à certaines situations (d’urgence, de conflit, etc.)
  • Les tarifs
  • Les éventuelles prestations annexes selon vos besoins : aide aux devoirs, préparation des repas, accompagnement des enfants aux sorties

Pour vous faire gagner du temps, Kidsplace propose avec sa plateforme de mise en relation un outil efficace à disposition des parents : trouvez facilement votre babysitter en entrant votre secteur et en accédant aux annonces complètes et vérifiées des candidats proches de chez vous !

Critères de recherche pour une babysitter idéale

La babysitter idéale est celle qui répondra à vos critères d’exigences en matière de disponibilité, de services et de relationnel. Pour réussir votre recherche, il est important que vous définissiez précisément vos attentes au sujet :

  • Des horaires et de la fréquence de garde : à la carte, de manière fixe et régulière, en horaires classiques ou décalés, durant les vacances scolaires ou uniquement en période scolaire
  • Du lieu de garde : à votre domicile uniquement, au parc, à la sortie de l’école
  • Des prestations : repas, coucher ou lever des enfants, accompagnement aux activités extra-scolaires, aide aux devoirs
  • Des diplômes ou formations du candidat : BAFA, premiers secours, formation Montessori, BEP ou CAP petite enfance, etc.

Vous êtes débordés et n’avez pas le temps de trouver un·e baby sitter qui réunisse tous vos critères ? Contactez Kidsplace, votre solution SOS babysitter quelle que soit votre région.

Fonctionnalités de la plateforme Kidsplace pour trouver votre babysitter

Que diriez-vous d’accéder en quelques clics à des annonces complètes et vérifiées de babysitters ? L’homogénéité des annonces vous permet de comparer facilement les profils des candidats. Vous avez accès d’un seul coup d’œil à la présentation, aux photos, à l’emplacement géographique de la babysitter. En cliquant simplement sur le profil qui vous intéresse, apparaissent toutes les autres informations utiles :

  • Compétences
  • Années d’expérience
  • Niveau d’études
  • Langues parlées
  • Formations
  • Avis d’autres parents

Pour simplifier encore vos recherches et vous permettre d’accéder directement aux profils adaptés à vos attentes, Kidsplace met à votre disposition un outil de sélection des critères comprenant un large choix d’exigences, parmi lesquelles :

  • Permis de conduire et véhicule personnel
  • Années minimales d’expérience
  • Type d’alimentation proposé
  • Garde d’enfant malade/en situation de handicap
  • Sorties extérieures proposées
  • Formations et diplômes
  • Disponibilités particulières (nuit, jour de l’An, vacances, etc.)

Profitez de l’offre Care + pour pouvoir contacter tous les profils sans limite, avoir accès à une communauté de parents en soutien, disposer d’une hotline 6 jours sur sept et bénéficier d’une aide administrative.

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Sur la rémunération de votre babysitter

Nos conseils pour calculer le tarif d’une babysitter

Tarif babysitting : quel taux horaire demander ?

Vous proposez vos services de babysitter, mais vous ne savez pas quel tarif babysitting demander aux parents ?

Kidsplace vous aide à trouver des missions, mais aussi à fixer un juste prix pour vos services. Suivez notre guide sur le prix moyen du baby sitting et ses critères de variation.

Babysitting : faut-il déclarer ses heures ?

Il est obligatoire de déclarer toute activité professionnelle, y compris des heures de babysitting, même si elles sont ponctuelles.

Déclarer votre activité vous met à l’abri de l’illégalité, mais vous protège également. La déclaration de vos missions de babysitting vous permet en effet :

  • de faire respecter vos droits du travail (horaires, salaire minimum, indemnités)
  • d’être couvert·e par les assurances en cas d’accident et de dommages pour vous-même ou pour les biens des parents employeurs
  • de cotiser pour vos droits à la retraite, au chômage, aux indemnités maladie

N’oubliez pas qu’il est aussi dans l’intérêt des parents employeurs de déclarer votre emploi, puisqu’ils peuvent bénéficier d’aides et de crédits d’impôts au titre des dépenses en services à la personne.

Salaire minimum pour du babysitting

Toute activité salariée est encadrée en France par une règlementation en matière de rémunération. Vous pouvez ainsi exiger un salaire minimum, lorsque vous calculez le tarif babysitting pour votre activité de baby sitter :

  • Le Smic, soit 10,25 euros brut de l’heure (8,11 euros net) si vous avez plus de 18 ans
  • 9,23 euros brut par heure si vous avez 17 ans et moins de 6 mois d’ancienneté ou d’expérience
  • 8,20 euros brut par heure si vous êtes âgé de moins de 17 ans, avec moins de 6 mois d’ancienneté ou d’expérience

L’abattement sur le taux horaire du babysitting pour les employés mineurs n’est plus autorisé dès lors que vous avez 6 mois d’ancienneté chez l’employeur, ou d’expérience auprès d’autres employeurs.

Variation du tarif babysitting en fonction de vos qualifications et de votre secteur

Le tarif horaire du babysitting varie également selon plusieurs paramètres. Il ne peut être inférieur au taux minimal légal (Smic avec ou sans abattement), mais peut en revanche lui être supérieur dans les cas suivants :

  • Si la demande dans votre secteur géographique est particulièrement forte : c’est le cas en région parisienne et en région PACA, ainsi que dans les grandes villes de manière générale.
  • Si vous avez des qualifications particulières : BAFA, premiers secours, diplôme de la petite enfance
  • Si vous proposez des prestations supplémentaires : aide aux devoirs, préparation des repas, apprentissage d’une langue étrangère…
  • Si vos disponibilités sont larges ou sur horaires décalés : nuit, vacances, etc.

Déposez votre annonce en quelques clics pour trouver des babysittings sur Kidsplace : notre plateforme vous permet de mettre en valeur toutes vos qualifications, compétences et prestations afin de trouver des missions au prix le plus juste.

Indemnisations kilométriques pour le baby-sitting

Le prix du babysitting inclut le salaire qui vous est versé pour les heures de garde, mais aussi des indemnités, notamment de déplacement. Le parent employeur a pour obligation de rembourser le prix de vos trajets si vous utilisez votre véhicule personnel pour transporter les enfants, afin de les emmener à leurs activités ou pour effectuer les trajets de l’école à leur domicile, par exemple.

Le parent-employeur est exonéré de cotisations sociales sur ces indemnités. Elles entrent également dans les dépenses donnant droit à crédit d’impôt.

Sachez que le parent employeur peut aussi vous verser une indemnité pour les trajets que vous effectuez entre votre domicile et le lieu de garde de l’enfant. Ces indemnités ne sont pas obligatoires, mais donnent aussi lieu pour votre employeur à une exonération de charges et à un crédit d’impôt. Vous êtes donc en mesure de les négocier le tarif babysitting.

Kidsplace vous permet de renseigner un rayon d’intervention sur votre annonce en ligne, afin de recevoir des missions adaptées à votre lieu de domicile et à votre moyen de transport.

Contactez nos équipes si vous avez besoin d’un coup de pouce pour optimiser votre profil et trouver des babysittings réguliers autour de chez vous !

En savoir plus

Sur le barème des indemnités kilométriques en 2021 

Sur le Smic, son montant, ses conditions d’abattement 

Lire notre article avec des conseils pour trouver des babysitting.

Comment calculer le tarif d’une babysitter ?

Vous avez besoin de faire garder votre enfant ponctuellement et vous ne connaissez pas le tarif d’une babysitter ? Kidsplace vous renseigne sur le tarif horaire du babysitting en fonction de l’âge et des qualifications de votre employé·e, de ses prestations ou encore de ses horaires.

Pour vous aider à évaluer au plus juste le coût d’une babysitter avant de recruter !

Taux horaire d’une babysitter : les critères de variations

Le taux horaire minimum pour faire garder votre enfant à domicile va varier selon l’âge, les qualifications et l’expérience de votre employé.

Il convient également de distinguer le statut des babysitters qui interviennent ponctuellement, de celui des nounous, ou auxiliaires parentales, qui gardent votre enfant quotidiennement et se substituent en ceci aux modes de garde collectifs ou à l’assistante maternelle.

Si le taux horaire du babysitting est réglementé (comme celui de la garde d’enfant régulière à domicile par une auxiliaire), il faudra prévoir une majoration en fonction des profils et des secteurs où la demande peut être plus importante, notamment en ville.

Tarif d’une babysitter : quel est le taux horaire minimal ?

Le babysitting doit être rémunéré au minimum à hauteur du SMIC, c’est-à-dire 10,25 euros brut par heure (8,11 euros net).

Ce salaire minimum légal est celui d’un ou d’une babysitter majeur·e.

Le tarif d’une babysitter par ailleurs plus élevé selon :

  • les prestations demandées : aide aux devoirs, préparation des repas, garde sur horaires décalés
  • l’expérience de la babysitter et ses qualifications
  • les secteurs où la demande est forte : le prix peut ainsi être inférieur de 30 % si vous résidez dans les Pays-de-la-Loire, par rapport aux prix pratiqués en région PACA ou en Île-de-France.

Kidsplace vous aide à trouver facilement un·e babysitter près de chez vous, à Paris comme en province. Entrez votre code postal et consultez les annonces !

Cas particulier : combien rémunérer une babysitter de moins de 18 ans ?

Il est possible d’employer des babysitters âgés de 14 ans (avec autorisation parentale). Plus couramment, l’âge légal non soumis à autorisation pour proposer des services de babysitting est de 16 ans. Le tarif horaire minimal sera alors diminué :

  • De 20 % dans le cas d’un employé mineur de moins de 16 ans
  • De 10 % dans le cas d’un employé mineur de 16 à 18 ans

Cet abattement ne vaut que pour les premiers mois de travail d’un·e babysitter débutant·e : il n’est plus autorisé dès lors que votre babysitter bénéficie d’une ancienneté ou d’une expérience (auprès de votre famille ou d’une autre famille) de 6 mois.

Les frais supplémentaires à prévoir

D’autres coûts peuvent être à prendre en compte au moment de recruter un·e babysitter :

  • Les frais de repas
  • Les frais de transport
  • Les frais compensatoires en cas d’annulation de la garde moins de deux heures avant l’horaire prévu.

Contactez Kidsplace pour vous aider dans votre recherche de babysitter quel que soit son profil, pour une garde ponctuelle, des services réguliers et même une garde d’enfant en urgence.

Nos équipes répondent aussi aux questions que vous vous posez au sujet du tarif d’une babysitter.

Quelles sont les aides financières pour les frais de babysitting ?

Pour bien calculer le coût de votre babysitter, il faut prendre en compte les aides, avantages fiscaux ou crédit d’impôt dont vous pourrez bénéficier pour ces services. Pour cela, il est essentiel de déclarer votre employé·e.

La prestation de babysitting relève des services à la personne. À ce titre, elle est donc éligible au crédit d’impôt : un dispositif qui permet aux foyers imposables comme non imposables de récupérer 50 % de leurs dépenses en garde d’enfant ou autre service à domicile après leur déclaration annuelle des revenus.

Le cas d’une babysitter sous contrat

Si vous employez un·e babysitter sous contrat (en emploi direct comme auprès d’une agence) pour un minimum de 16 heures par mois, vous pouvez également bénéficier du Complément de libre choix du Mode de Garde (CMG) mis en place par la Caf. Cette aide financière est soumise à conditions :

  • Vous devez avoir une activité professionnelle
  • L’enfant doit être âgé de moins de 6 ans
  • Le temps de garde mensuel ne doit pas être inférieur à 16 heures

Le montant de l’aide dépend de vos plafonds de revenus et du nombre de vos enfants à charge. Elle constitue dans tous les cas une prise en charge partielle : un minimum de 15 % du coût du babysitting restera à votre charge.

Les crédits d’impôts porteront sur ce reste à charge uniquement.

Autres aides

D’autres aides peuvent être proposées par votre employeur, par votre ville ou par votre département. Consultez les différents services concernés pour savoir si des aides au babysitting sont mises en place et si vous êtes éligibles !

Kidsplace vous aide ensuite à trouver votre babysitter idéale. Vous manquez de temps pour les recherches et les démarches ? Découvrez l’offre Care +, qui vous permet de bénéficier d’une aide administrative, d’une hotline dédiée et du soutien d’une communauté de parents.

En savoir plus

Sur les aides au financement de garde d’enfant 

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Nos conseils sur les autres modes de garde d’enfants

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La crèche multi-accueil en 4 points

Parmi les différentes solutions de garde d’enfant, vous avez sûrement déjà entendu parler de la crèche multi-accueil. Découvrez avec Kidsplace, spécialiste de la garde d’enfants, tout ce que vous devez savoir sur ce type d’établissement, son taux d’encadrement, la différence avec une structure classique et ses atouts.

Qu’est-ce qu’une crèche multi-accueil ?

Une crèche multi-accueil est un établissement d’accueil des jeunes enfants âgés de 2 mois à 3 ans, pouvant même accueillir les enfants jusqu’à l’âge de 6 ans en-dehors des périodes scolaires. Elle peut réunir accueil collectif et accueil individualisé. Ce type de crèche peut également combiner plusieurs modalités de garde. Offrant un accueil régulier, elle propose aussi aux parents un accueil occasionnel ou encore d’urgence. C’est une solution de garde particulièrement flexible. Les enfants sont ainsi reçus :

  • de manière régulière à temps complet ou partiel, jusqu’à 5 jours par semaine,
  • ou de façon ponctuelle pour deux jours ou deux matinées dans la semaine par exemple,
  • ou lors d’une situation d’urgence, en fonction des établissements.

Quel taux d’encadrement en crèche multi-accueil ?

Crèche privée ou publique, l’encadrement des enfants en crèche multi-accueil est similaire à celui des crèches classiques : les bambins sont encadrés par des professionnels diplômés. Légalement, le taux d’encadrement attendu est de 40 % des professionnels de la petite enfance en tant que puériculteur.trice, infirmier.ère ou psychomotricien.ne diplômés d’Etat, ou en tant qu’EJE ou auxiliaire de puériculture. En accueil collectif dès 25 enfants, des éducateurs ou éducatrices de jeunes enfants (EJE) titulaires d’un diplôme d’Etat doivent être présents. En ce qui concerne l’accueil familial, les EJE sont obligatoires à partir de 30 enfants et des assistantes maternelles doivent être sur place.

Dans tout établissement d’accueil collectif, sont prévus au minimum un professionnel de la petite enfance pour cinq enfants ne marchant pas encore seuls et un professionnel pour huit bambins sachant marcher en autonomie. Les crèches multi-accueil qui proposent également un accueil individualisé voient leurs assistantes maternelles et les enfants qu’elles gardent de façon ponctuelle non pris en compte dans les effectifs.

La différence entre la crèche et la structure multi-accueil

Comme n’importe quelle crèche, le multi-accueil accueille les enfants dès leurs 2 mois révolus, les surveille, les stimule et leur permet de découvrir le monde. Il joue un rôle important dans l’apprentissage de la vie en société et prépare petit à petit les jeunes enfants à l’entrée en maternelle.

Néanmoins, au contraire d’une crèche traditionnelle, l’établissement multi-accueil se caractérise par une certaine flexibilité idéale pour les parents, qui peuvent ainsi choisir les modalités d’accueil qui leur conviennent le mieux. Beaucoup de crèches multi-accueil peuvent accepter les enfants de plus de 3 ans en-dehors du temps passé à l’école, grâce à la halte-garderie ou à l’accueil périscolaire qu’elles proposent. En fonction des structures, l’enfant pourra ainsi être accueilli jusqu’à l’âge de 4 ans, voire même 6 ans.

Coté inscription et admission en multi-accueil, les démarches sont les mêmes que pour une crèche classique. En fonction de la nature de l’établissement, crèche privée ou régie par une collectivité comme un centre communal, intercommunal ou le Conseil départemental vous serez amené à contacter soit l’établissement lui-même, soit le service municipal de la petite enfance de votre commune.

Les avantages de la crèche multi-accueil

Les atouts du multi-accueil sont nombreux.

  • C’est une solution de garde sur-mesure pour les parents avec une flexibilité permettant des changements de planning tout au long de l’année. C’est un mode de garde parfait pour les personnes travaillant à temps partiel, mais aussi pour celles voulant combiner les modes de garde de leur enfant entre accueil familial chez l’assistante maternelle et accueil en crèche collective.
  • L’inscription dans une crèche multi-accueil permet une immersion sans précipitation dans la vie en collectivité, l’idéal pour le confort de l’enfant.
  • Le multi-accueil permet d’accueillir l’enfant de manière occasionnelle, pour une socialisation progressive avant de l’inscrire de façon régulière quelques demi-journées ou journées par semaine puis à temps plein.
  • Enfin, le multi-accueil offrant un accueil d’urgence, il permet de pourvoir aux aléas de la vie quotidienne des parents face à un imprévu de dernière minute.

Vous recherchez une place en crèche pour votre enfant ? Kidsplace vous accompagne pour vous trouver une structure multi-accueil près de chez vous.

N’hésitez pas à nous contacter pour plus d’informations.

Avez-vous pensé à une crèche privée ?

Tous les parents le savent : obtenir une place en crèche n’est pas toujours facile. Il est souvent nécessaire d’attendre longtemps pour pouvoir faire garder son bambin dans un établissement public d’accueil de jeunes enfants. Alors, avez-vous pensé à une crèche privée ? De nombreuses familles se dirigent vers cette solution de garde. Quels sont les différents types de structures privées et ont-elles des points communs avec les crèches publiques ? Quels sont leurs avantages ? Leur coût ? Kidsplace répond à ces questions.

Crèche privée : définition

Établissement d’accueil des enfants âgés de 2 mois à 3 ans, la crèche privée est gérée par une structure non rattachée au secteur public. Au contraire, une crèche publique quant à elle, est administrée par une collectivité territoriale comme par exemple une commune.

Une structure privée peut ainsi être régie par une société, une entreprise (ou plusieurs) ou une association.

Quels sont les différents types de crèches privées existantes ?

En fonction de la manière dont elles sont gérées et dont elles fonctionnent, différents types de crèches privées peuvent être identifiés :

  • Les crèches d’entreprise et inter-entreprises, qui reçoivent les enfants des salariés d’une ou de plusieurs sociétés. L’entreprise en question délègue en général (mais pas forcément) la gestion de l’établissement à un prestataire extérieur. Elle réserve et prend en partie en charge des places en crèche pour les enfants de ses employés : ce sont les berceaux d’entreprises. Vous souhaitez des berceaux d’entreprises pour les enfants de vos salariés ou souhaitez que votre employeur vous réserve une place en crèche ? Kidsplace vous renseigne, n’hésitez pas à nous contacter.
  • Les crèches collectives. Administrées par une structure privée, elles peuvent accueillir un maximum de 60 bambins.
  • Les crèches associatives, qui sont des organismes à but non lucratif sous le statut de la loi 1901. Ce sont la plupart du temps des crèches parentales, créées et tenues par les parents des enfants inscrits face à la pénurie de places dans les crèches communales. Elles peuvent recevoir jusqu’à 25 enfants et offrent les mêmes services qu’une crèche publique.
  • Les micro-crèchesqui sont des établissements à la capacité d’accueil maximale de 12 enfants depuis l’entrée en vigueur de la loi d’accélération et de simplification de l’action publique (Asap).

Quelles sont les similitudes entre crèche privée et crèche publique ?

Côté réglementation, les crèches privées sont logées à la même enseigne que les établissements d’accueil de jeunes enfants publics.

Le Conseil départemental donne son autorisation pour leur ouverture et elles sont contrôlées par la PMI (Protection maternelle et infantile). Un effectif minimum de professionnels de la petite enfance doit être présent selon le nombre d’enfants dans l’établissement ; c’est le taux d’encadrement. Ce dernier est déterminé par un cadre légal et peut varier en fonction de la capacité d’accueil de l’établissement.

Crèches privées comme publiques partagent également plusieurs missions distinctes : elles gardent les enfants, participent à leur éveil et à leur socialisation et préparent les plus âgés à leur future scolarisation en maternelle.

Les nombreux avantages de la crèche privée

En établissement d’accueil privé comme public, l’encadrement est réalisé par des spécialistes de la petite enfance issus d’univers complémentaires (éducateur.trice de jeunes enfants, psychomotricien.ne, assistante maternelle…), les locaux sont appropriés et les activités proposées sont stimulantes. L’enfant apprend la vie en collectivité de manière progressive.

Si crèche privée et crèche publique présentent de multiples atouts, les crèches privées comportent néanmoins des avantages supplémentaires :

  • Souplesse de l’inscription en crèche et accessibilité tout au long de l’année.
  • Amplitude horaire pouvant être plus grande que celle d’une journée de travail classique.
  • Initiatives pédagogiques spécifiques.

La crèche privée représente une solution de garde intéressante par rapport aux établissement publics d’accueil de jeunes enfants où il est difficile d’obtenir une place. Elle propose également des services et une vision pédagogique pouvant susciter l’intérêt des jeunes parents.

Par exemple :

  • Petits effectifs et accueil individualisé en micro-crèche.
  • Bilinguisme.
  • Crèches multi-accueil.
  • Approche Snoezelen avec des ateliers dédiés à l’éveil des sens des tout-petits dans une atmosphère sécurisante.
  • Accueil d‘enfants en situation de handicap ou non en structure inclusive.
  • Méthode Montessori.
  • Alimentation 100 % bio.
  • Garde d’enfants en horaires atypiques.

Combien coûte une crèche privée ?

Les structures privées peuvent percevoir ou non la PSU (Prestation de service unique), versée par la Caf. Quand elles la reçoivent, les parents inscrivant leur enfant en crèche bénéficient d’un tarif réduit déterminé en fonction de leurs ressources. Lorsque les établissements ne reçoivent pas la PSU comme dans le cas des micro-crèches, les aides de la Caf (ou de la MSA) sont alors directement allouées aux foyers éligibles avec le CMG structure (Complément du libre choix du mode de garde structure).

Le montant du CMG dépend :

  • de vos revenus,
  • de votre situation familiale,
  • du nombre d’heures pendant lesquelles vos enfants sont gardés.

Le CMG peut couvrir jusqu’à 85 % des dépenses liées à la garde de votre enfant.

Pour trouver une place en crèche, que vous habitiez en ville ou à la campagne, vous pouvez faire appel à notre plateforme Kidsplace en toute confiance. N’hésitez pas à nous contacter pour toute question, demande de renseignement ou d’inscription de votre enfant !

En savoir plus :

Lire nos articles sur les démarches pour inscrire son enfant en crèche et sur les conseils pour trouver une place en crèche collective

La micro-crèche en 7 points

La micro-crèche est une solution de garde d’enfants qui rencontre de plus en plus de succès auprès des jeunes parents.

Mais qu’est-ce qui la différencie d’une crèche collective ? Est-ce le meilleur mode de garde existant ? Kidsplace vous détaille tout ce que vous devez savoir sur les particularités de la mini-crèche, sa règlementation, les conditions d’obtention d’une place en crèche, son coût…

Quelle est la capacité d’accueil d’une micro-crèche ?

A l’instar des crèches collectives et des assistantes maternelles, la micro-crèche est un mode de garde d’enfants en bas-âge.

Elle peut donc accueillir des enfants dès l’âge de 2 mois jusqu’à 3 ans révolus, âge auquel l’instruction devient obligatoire.

Acceptant des enfants d’âges variés, elle représente un lieu permettant d’encourager à la fois l’échange et la solidarité. Ce type de structure pousse également l’enfant à devenir plus autonome. Le nombre de places maximum est de 12 enfants en simultané, une nouveauté de l’année 2021 suite à la loi d’accélération et de simplification de l’action publique (Asap) publiée au journal officiel du 8 décembre 2020.

Ces petits effectifs, spécifiques à la micro-crèche, contribuent à un accueil de qualité.

Haut taux d’encadrement et accueil individualisé

Les enfants en bas-âge bénéficient d’une socialisation menée en toute sérénité. Ils sont accueillis de manière beaucoup plus individualisée que dans une crèche collective, qui peut regrouper jusqu’à 60 bambins.

La réglementation est la même tant dans les établissements d’accueil collectif que dans les micro-crèches : les enfants sont encadrés par des professionnels de la petite enfance. Ces derniers doivent être titulaires d’une qualification de niveau V (comme le CAP petite enfance ou un diplôme d’auxiliaire de puériculture, par exemple) et justifier d’une expérience professionnelle d’au moins deux ans au sein d’un établissement de garde d’enfants en bas-âge ou de trois ans comme assistante maternelle agréée.

La norme d’encadrement est en revanche différente entre crèche collective et micro-crèche. Une personne peut s’occuper seule de 3 enfants ou moins. Dès 4 enfants, ce sont deux professionnels qui doivent être présents. Et c’est un total d’au moins trois employés à temps plein qui doivent être sur place dans une micro-crèche. Néanmoins, les structures embauchent habituellement quatre ETP (équivalent temps plein) dont au moins un.e éducateur.trice de jeunes enfants (EJE), pour favoriser un accueil qualitatif et personnalisé.

Le statut et l’organisation

Une micro-crèche peut être soit une crèche privée (régie par une association ou une entreprise), soit gérée par un établissement public (comme un centre communal ou intercommunal ou encore le Conseil général). Elle peut donc être créée par une structure à but non lucratif ou lucratif.

La plupart du temps, les micro-crèches sont structurées en réseau. Une bonne façon de proposer un service allant de pair avec une certaine éthique.

Les conditions d’ouverture d’une micro-crèche

Une demande en mairie est nécessaire pour créer une micro-crèche. C’est le Conseil général qui autorise son ouverture. Puis, les commissions de sécurité et d’accessibilité valident le projet.

La Caf (Caisse d’allocations familiales) conseille des locaux entre 100 et 120 m², comprenant une pièce dédiée aux activités ouverte sur l’extérieur. Enfin, la préparation de repas pour les enfants au sein de la structure est soumise à autorisation de la DDP (Direction départementale de la protection des population).

Crèche privée ou publique, la micro-crèche est contrôlée par la PMI (protection et infantile), rattachée au Conseil départemental.

La micro-crèche, le meilleur mode de garde ?

Les micro-crèches représentent un mode de garde d’enfants à mi-chemin entre la structure classique accueillant un grand nombre d’enfants, et l’assistante maternelle où l’ambiance est davantage familiale. Elles conjuguent apprentissage de la vie en société et prise en charge individuelle et font ainsi montre de nombreux avantages :

  • Un accueil personnalisé qui prend en compte les souhaits parentaux et les habitudes de l’enfant.
  • Un contexte sécurisant à taille humaine idéal pour apprendre à vivre ensemble sans bousculer l’enfant.
  • Un encadrement plus important, avec 1 professionnels de la petite enfance à partir de 4 bambins, puis 1 pour 3.
  • Une seule et même section donc aucune séparation par âge, ce qui favorise l’entraide entre les enfants et stimule le développement des plus jeunes.
  • Des activités stimulantes idéales pour l’éveil des tout-petits et faciliter l’arrivée en maternelle des enfants plus âgés.

Combien coûte une place en micro-crèche ?

Le coût d’une place n’est pas nécessairement plus élevé qu’en crèche traditionnelle.

Le montant à payer dépend des établissements et des aides peuvent vous être octroyées et permettent ainsi de faire baisser la note. Parmi elles se trouvent les aides de la Caf, mais aussi des berceaux d’entreprise, consistant en des places en crèche partiellement prises en charge pour les enfants de leurs salariés.

Pour en savoir plus n’hésitez pas à nous contacter.

Quelle aide de la Caf pour la micro-crèche ?

La Caf finance parfois la garde d’enfants de manière directe ; dans ce cas, le tarif à payer est déterminé suivant vos ressources. Les micro-crèches quant à elles ne sont pas directement financées. L’aide de la Caf est vous est alors allouée directement par le biais de la Paje (Prestation d’accueil du jeune enfant). Vous pouvez bénéficier ainsi du CMG (Complément du libre choix du mode de garde), qui finance une partie des frais liés à la garde de votre enfant. Le montant versé est fonction de vos revenus et de votre situation familiale. Un minimum de 15 % du total des frais reste à votre charge.

Vous recherchez une place en crèche ? Pour cela, vous pouvez compter sur notre plateforme de mise en relation Kidsplace pour en trouver une en fonction de vos besoins et de votre lieu d’habitation.

En savoir plus :

Lire l’article sur les différents types de crèches