Comment parler du Coronavirus avec les enfants ?

Commençons par un aparté…

Le confinement suite à la pandémie 

Un sujet dont on reparlera encore dans des années certainement dans chaque famille, et une période qui fera partie des souvenirs d’enfance de vos petits… et oui !

Beaucoup d’entre vous ont instauré des habitudes et activités pour que les jours passés sans sortir et loin des copains soient cadrés et les plus agréables possible.

Vous avez bien raison : le mode de vie de la famille a été modifié quasiment du jour au lendemain, sans préparation, ce qui peut être source d’angoisse chez les enfants.

Il est donc important de garder des repères (les habitudes du week-end comme un petit déjeuner différent de la semaine si tel était le cas, la même heure de coucher pour les petits ou une heure maximale pour les ados…) et de structurer le « nouveau » quotidien pour qu’il soit rassurant.

Revenons à nos moutons…

Les enfants ont beaucoup entendu parler du coronavirus (dans leur famille, à l’école, à la télé…). Il est conseillé de les écouter, puis de trouver les mots les plus justes pour expliquer.

 Yann Leroux, psychologue, explique sur twitter :

« Prenez le temps de discuter avec votre enfant de la situation. Comment voit-il les choses ? Est-il confiant ? Anxieux ? Excité ? Ne jugez pas son point de vue, quel qu’il soit. L’important est que votre enfant partage son expérience »

Les tout-petits

Avant 3 ans si votre enfant n’est pas exposé aux actualités (ce qui est préférable mais pas forcément réalisable dans ce contexte inédit), il n’est même pas nécessaire de nommer le coronavirus.
Et s’il n’en parle pas lui-même d’abord, il serait mieux de ne pas aborder le sujet, d’une part parce que cela pourrait l’inquiéter inutilement, et aussi parce que cela n’aurait pas beaucoup de sens pour lui.

Vous pouvez juste lui expliquer qu’il n’ira pas à la crèche ou chez la nourrice et que vous restez exceptionnellement à la maison.

L’enfant scolarisé

Après 3 ans, ils ont bien compris qu’il se passait quelque chose. Comme les enfants sont des « éponges émotionnelles », si vous êtes inquiets ne cherchez pas à le cacher : votre enfant percevrait votre angoisse sans pouvoir comprendre un discours différent de ce qu’il a perçu, ce serait une source de stress supplémentaire pour lui.

Selon l’âge, il faudrait expliquer ce qui se passe (sans aller jusqu’à évoquer le nombre de morts et la surcharge des hôpitaux 😉), et surtout ensuite indiquer en quoi nous pouvons tous faire quelque chose pour nous protéger et protéger les autres, le rassurer et valoriser ce qui est positif :

  • Dîtes avec des mots simples, que le virus donne une maladie que l’on peut se donner les uns aux autres, sans le vouloir, juste avec des gouttes de salives. (Retrouvez en fin d’article des supports audio, BD et actus pour enfants à lire ou écouter avec eux).
  • Et que c’est pour cela que l’on doit rester à la maison et éviter de rencontrer les autres.
  • On doit rester chez soi mais cela ne veut pas dire est complètement inactif : c’est aussi en suivant tous les gestes barrières : se laver les mains, tousser dans son coude… que chacun, du plus petit au plus grand, a une mission.
  • Rappelez que vous êtes là pour lui, pour le protéger, et que tout est mis en œuvre dans le pays pour sortir de ces circonstances… mais en lui demandant de participer à la prévention vous réduisez son sentiment d’impuissance face à cette situation.
  • Mettez en avant les aspects positifs : les gestes de solidarité comme applaudir à 20h aux fenêtres les soignants, le temps que l’on a pour faire des gâteaux et activités en famille…
  • Vous pouvez aussi lui dire qu’il a le droit d’avoir peur, qu’il n’est pas le seul, et que cette inquiétude crée aussi la volonté de nous protéger tous. N’hésitez pas à rappeler qu’il y a déjà eu des épidémies dans le passé et qu’elles ont été vaincues.

Les adolescents

Quant à eux, via leurs groupes WhatsApp et internet, sont exposés à tous types d’informations. C’est une nouvelle opportunité de discuter avec eux, d’éduquer aux écrans et apprendre à avoir le regard critique : savoir recouper les sources, éviter l’information en continue, mettre en garde contre les « fake news » source d’angoisse. 

Et leur faire prendre quand même suffisamment conscience du sérieux de la situation pour qu’ils acceptent la contrainte de cohabiter toute la journée avec les parents et de ne pas voir leurs amis. Tout le contraire de ce à quoi ils aspirent !


Pour donner de l’information aux enfants sur le virus, nous avons compilé ces supports ludiques, documentés… et rassurants :

L’actualité sur le virus illustrée, des conseils pendant le confinement et aussi des questions d’enfants et les réponses : https://ptitlibe.liberation.fr/p-tit-libe/2020/03/13/que-sait-on-sur-le-coronavirus_1781567

Une histoire audio pour les 6 – 7 ans : https://souffleurdereves.com/histoires-enfants/6-7-ans/vidoc-un-virus-pas-comme-les-autres/

Histoire simplifiée de la pandémie pour les enfants : https://www.cocovirus.net/post/coco-le-virus

Et le pdf accompagnant l’article, dans lequel le virus s’adresse aux enfants… et les rassure !


Conseils inspirés de :

Nicolas Chevrier, psychologue (article dans Naitre et grandir)

Marie-Noëlle Clément, pédopsychiatre (article dans La Croix)

Yann Leroux (article dans Paris Match)

Les astuces pour aider votre enfant à dormir

Dès ses premiers mois ou après quelques années de vie, votre enfant peut avoir des difficultés à trouver le sommeil.

S’il est vrai que plusieurs raisons sont susceptibles d’être à l’origine d’une telle situation, l’aménagement intérieur de la chambre de votre enfant est un facteur qui influe tout autant sur son sommeil.

Pour ce faire, il est important de savoir aménager la chambre de votre trésor, afin qu’il puisse facilement se laisser lors du passage du marchand de sable. Mobilier, décoration, lumière, vous devez penser à tout.

Les conditions idéales pour le sommeil d’un enfant

Avant tout, vous devez d’abord avoir une idée de la façon dont vous devrez aménager la chambre, afin que le sommeil de votre enfant soit reposant.

Une fois que vous êtes fixé, vous pouvez visiter des sites spécialisés tels que www.machambredenfant.com pour choisir les articles de décoration de la chambre de votre enfant. Qu’il s’agisse d’un lit superposé, d’un matelas, d’une barrière de lit, ou encore d’une bibliothèque, vous aurez l’embarras du choix pour l’aménagement de la chambre.

De nombreux facteurs influencent le rythme et la qualité du sommeil de l’enfant. Il est donc important de les appréhender pour trouver les approches idéales à travers un aménagement conséquent.

Il s’agit ici de tenir compte du mobilier devant équiper la chambre de votre enfant selon son âge. De même, doit être considérée la luminosité dans la chambre de votre enfant, ainsi que la décoration, notamment en ce qui concerne le choix des couleurs.

Idéalement, il faudra miser sur les teintes peu vives, afin de favoriser l’endormissement. Ces coloris facilitent le sommeil la nuit, puisqu’ils n’agissent pas sur les yeux de vos enfants et ne les perturbent donc pas.

Le choix du lit pour un sommeil facile

S’agissant par exemple du lit, nous vous conseillons de tenir compte de l’âge de votre petit avant de choisir. Il va de soi qu’un lit avec des barrières est le choix parfait pour un enfant de moins de 3 ans. Mais lorsque vous remarquez que votre enfant peut passer au-dessus de ces barrières, vous pouvez envisager un lit sans cet équipement. De même, vous pouvez choisir des lits superposés ou en hauteur, à condition bien sûr que votre enfant ait au moins 6 ans et ne souffre pas de somnambulisme.

Vous pouvez aussi opter pour ce type de lit si votre enfant apprécie la hauteur. Nous vous conseillons les lits superposés pour leur aspect fonctionnel, mais aussi parce qu’ils permettent aux enfants de dormir facilement.

Les lits avec barreaux et non superposés constitueront un choix intéressant à condition de respecter un espacement de 4,5 à 6,5 cm entre les barreaux, pour qu’il ne se coince pas les doigts.

Pour en revenir aux lits superposés, vous conviendrez que l’obscurité est un facteur qui fait peur aux enfants et les empêche parfois de dormir, qui plus est lorsqu’ils se savent seuls. Or, les lits superposés leur permettent de dormir à deux ou à trois, notamment lors d’invitations de copains à la maison.

Chambre d’enfant : la gestion de la luminosité

L’idée ici est de permettre à votre enfant de trouver facilement le sommeil. Vous vous imaginez certainement que l’obscurité sera donc de mise. Pour cela, vous avez le choix entre différentes solutions. Les rideaux à fort potentiel occultant par exemple sont une option intéressante. Il en va de même pour la classique veilleuse, à condition que sa luminosité soit aussi faible que possible.

Outre la veilleuse, nous pensons aussi que des dispositifs comme le voile de lit ou le ciel étoilé LED seront très efficaces.

Une couverture fantaisie avec ciel étoilé pourrait aussi transformer la chambre de votre enfant en un univers magique. Le ciel étoilé LED est une solution que votre enfant appréciera parce qu’elle le protège de l’obscurité, tout en lui offrant un ciel hors du commun.

Dans certains cas, une lampe de lecture LED, qui est bien sûr sans effets néfastes sur sa vue, peut plus ou moins jouer ce rôle.

Par ailleurs, la luminosité intègre aussi l’aspect décoration, notamment en ce qui concerne le choix des couleurs. Au mur comme au sol, la couleur aura un rôle central dans la facilité de votre fils ou de votre fille à trouver le sommeil. Encore une fois, que ce soit pour un nouveau-né ou enfant d’un certain âge, privilégiez les couleurs douces sur les murs.

Les couleurs trop vives sont à exclure, sauf pour apporter quelques touches déco, sans abuser. Le vert et le bleu sont par exemple des teintes qui favorisent la détente et le sommeil chez les petits anges, le bleu étant associé au rêve et à la sérénité, le vert étant apaisant.

Dans tous les cas, nous pensons que vous devriez éviter le total look orienté sur une seule teinte pour peindre le mur de la chambre de votre enfant.

La télévision et l’ordinateur, un duo à maîtriser

Les enfants aiment la télévision et les jeux sur ordinateur. À partir d’un certain âge, ces faux-amis du sommeil sont leurs passe-temps favoris. Pourtant, il faudrait limiter leur accès, si vous espérez voir vos enfants dormir convenablement. Le temps passé devant les écrans est lié aux troubles du sommeil.

En effet, la lumière des écrans affecte le rythme du sommeil, en alertant les cellules de leur rétine, envoyant un signal d’éveil à leur horloge biologique. La mélatonine, dont le rôle est essentiel dans le déclenchement du sommeil, n’est alors plus secrétée ou l’est à faible quantité.

Ce phénomène est d’ailleurs identique chez les adultes. Pour cela, nous pensons que pour l’aménagement de la chambre de votre enfant, la télévision et l’ordinateur sont à proscrire.

Outre l’aménagement de la chambre de votre enfant, il existe d’autres facteurs qui favoriseront son sommeil. Le fait par exemple d’avoir un rituel serait une bonne idée, pour que l’enfant puisse facilement s’endormir.

Les rituels permettent de créer un sentiment d’assurance, pour un passage facile au sommeil. Une chanson, une petite histoire ou encore un câlin sont des exemples de rituels.

Les accessoires pour aider votre enfant à bien dormir

La chambre est un espace où votre enfant doit se sentir à l’aise et en sécurité. En plus de lui fournir un lieu propice au sommeil, elle doit aussi constituer un espace d’apprentissage et d’éveil adapté à son âge.

La chambre d’enfant est aussi un endroit qui contribuera à son développement, et sera le premier environnement dans lequel il apprendra à trouver son sommeil.

Il est ainsi nécessaire de l’équiper convenablement, afin que votre enfant puisse y dormir dans les meilleures conditions.

Le réveil pour enfant

Le réveil est un moment de transition où votre enfant passe d’un sommeil profond à des activités plus ou moins intenses.

Pour l’aider à commencer la journée de bon pied, il est préférable de l’éveiller en douceur.
Un réveil pour enfant facilitera la transition, et lui permettra de trouver son rythme. Ce type de réveil accompagne les plus jeunes, et peut aussi servir à l’heure du coucher.

Certains modèles sont dotés d’une fonction de lecture grâce à laquelle vous pouvez diffuser des comptines, des histoires ou de la musique à distance. Le réveil servira aussi de veilleuse durant la nuit, et rassurera votre enfant s’il a peur du noir.

Les versions musicales et éducatives conviendront à un enfant de moins de 5 ans qui peut avoir des difficultés à l’endormissement.
Vous pourrez considérer l’accessoire comme un coach de dodo et de réveil.

Un bon matelas

Le détail peut sembler mineur. Pourtant, le matelas est le premier garant du bon sommeil de votre enfant. Cet équipement doit fournir un sommeil réparateur, et ne pas être source de problème de dos.

Dès le plus jeune âge, il aura besoin d’un soutien suffisant pour sa colonne vertébrale. Vous pouvez aussi bien choisir un matelas en mousse, en latex naturel ou à ressort, à condition que votre enfant ne soit pas allergique à certains composants. Un bon matelas devra aussi rester confortable, et ne pas s’user trop rapidement.

Un bon modèle pourra lui servir environ 10 ans avant qu’il ne soit nécessaire d’en changer. Cette durée de vie est tout à fait correcte, et permettra à votre enfant de basculer vers une literie plus adaptée quand son matelas ne lui conviendra plus.

Les oreillers

L’oreiller offre un soutien utile à la tête et à la nuque. Cet accessoire sera préférablement rembourré de fibres synthétiques, car c’est plus hygiénique. Il ne doit être ni trop élevé, ni trop bas pour l’aider à garder la courbure naturelle du dos.
Les oreillers plats seront recommandés aux enfants en pleine croissance pour respecter la position des cervicales et de la colonne.

Sachez que l’oreiller n’est indispensable qu’à partir d’un certain âge. Durant la première année, voire jusqu’à 24 mois, l’oreiller peut représenter un risque d’étouffement.
Pour éviter les accidents durant la nuit, achetez uniquement des oreillers enfants quand votre petit bout sera assez autonome pour se retourner tout seul.

Le choix d’une matière synthétique évitera aussi l’accumulation de bactéries qui pourraient provoquer des problèmes de santé. Les fibres synthétiques seront aussi plus faciles à entretenir sur le long terme.

Astuces pour aider bébé à s’endormir

C’est l’heure du dodo mais votre petit bout de choux ne semble pas concerné ? Il râle dès qu’il voit son lit ou il est tellement éveillé qu’il vous faut des heures avant de réussir à l’endormir ?

Voici quelques conseils pour l’aider à accepter de bon gré le passage du
marchand de sable.

Préparez bébé pour l’heure du coucher

Établissez un rituel qui servira à lui signifier que l’heure du dodo est arrivée : Lumière tamisée dans sa chambre, petite musique très calme et maman qui chante ou parle d’une voix paisible pendant qu’elle le change ou le nourrit, l’aideront à se mettre dans une atmosphère propice.

Ce rituel est important car il servira à le rassurer et à le relaxer ; mais aussi pour établir des liens étroits avec votre bébé et communiquer avec lui.

Pas de sur-stimulation avant de dormir

Votre bébé a besoin d’être calme avant de dormir. Les jeux turbulents, la télé allumée, bruits et autres musiques entrainantes, tout comme les écrans, ne vont pas le fatiguer mais au contraire l’exciter.
Évitez-les au moins une heure avant de le coucher et privilégiez plutôt les activités calmes comme des chansons (douces bien entendu !) et des belles histoires quand il sera plus grand.

Parlez doucement à votre bébé et faites aussi régner une ambiance calme chez vous quand il se réveillera au milieu de la nuit pour réclamer son biberon.

Ne faites pas l’impasse sur la sieste

Votre bébé a besoin de sa sieste tous les jours et cela au moins jusqu’à ses trois ans, voir plus.
Ne pas la faire ne l’aidera pas à mieux dormir le soir, bien au contraire, il sera trop fatigué et aura encore plus de mal à se détendre.
Alors respectez ses rythmes de sommeil y compris son besoin de faire la sieste.

Quand c’est l’heure, c’est l’heure

Établissez des horaires pour l’heure du coucher et respectez-les. Ne permettez pas à l’enfant de vous les changer car ce serait la porte ouverte à tous les caprices.
Soyez douce mais prenez très au sérieux son besoin de repères.

Pas de panique, pas de bras

Si bébé pleure 5 minutes après que vous ayez quitté sa chambre, il ne faut pas accourir comme une flèche mais il ne faut pas l’ignorer.

Suivez votre rituel du sommeil et quittez sa chambre avant qu’il s’endorme car il doit s’habituer à s’endormir tout seul et dans son lit.
S’il pleure laissez-lui un peu de temps et surtout ne le sortez pas du lit pour le calmer car ça interrompra le rituel et lui donnera des mauvaises habitudes.

Il faut le laisser comprendre que les bras de maman ce n’est pas pour s’endormir mais pour se nourrir, câliner, communiquer et jouer.


Si le sommeil est souvent toute une histoire pour les adultes, tellement nous sommes pris dans nos routines journalières ; pour votre bébé c’est à peu près pareil car comme tout être humain, il a besoin de « décrocher » de la réalité pour pouvoir se détendre et laisser venir le sommeil. Pensez-y !

Comment faire des économies d’énergie dans une chambre d’enfant ?

Une chambre d’enfant regorge d’éléments électriques tels que la veilleuse, les jouets et le radiateur. Certains ados peuvent même avoir une télé, une console, un ordinateur ou bien un ampli de guitare.

Il est connu de tous que la température d’ambiance dans une maison est différente en fonction des pièces. Aussi, une chambre d’enfant aura besoin d’être plus chauffée que la chambre parentale.

Ce sont ces éléments que vous devez prendre en compte lors de votre souscription chez un fournisseur d’énergie.

Choisir une offre parmi toutes celles proposées par les différents fournisseurs

Dans le domaine de l’énergie électrique, il existe de nombreux fournisseurs. Le plus connu est EDF qui est le fournisseur historique d’électricité.
Vous n’êtes pas obligé de souscrire auprès d’EDF, rien ne vous empêche de confronter les offres et de choisir un fournisseur alternatif (Engie, Total Direct Energie, Eni, etc.).

Qui sont les concurrents d’EDF ?

Pour trouver leur place dans le domaine de l’électricité, les nouveaux fournisseurs ont décidé de mettre en place des services plus attractifs. Voici quelques exemples de concurrents EDF :

  • ENGIE est à la base un fournisseur de gaz. Ensuite, il s’est développé en devenant fournisseur alternatif d’électricité. Les principales offres sont des prix fixes, une électricité verte et un combiné avec le gaz.
  • Happ’e est un fournisseur qui est accessible que sur internet. Lors de sa première année d’existence, le fournisseur proposait des tarifs avec 12 % de réduction. Aujourd’hui, les tarifs de ses services sont identiques à la réglementation.
  • Cdiscount Energie. Il s’agit d’une filiale du célèbre groupe Casino. Les tarifs pratiqués peuvent aller jusqu’à 15 % moins chers que la réglementation.
  • Planète OUI. Ce fournisseur est spécialisé dans l’énergie renouvelable. L’abonnement proposé est le moins cher en France.

Il existe d’autres concurrents d’EDF avec des offres plus ou moins intéressantes. Certains sont spécialisés dans l’énergie renouvelable ce qui permet au marché de combler les attentes de tous les usagers.

Le numéro Direct Energie pour souscrire auprès du fournisseur

Direct Energie est devenu depuis peu Total Direct Energie. Le fournisseur d’électricité a été élu « meilleur service client de l’année” pour la 11e fois consécutive.
Il affiche des tarifs préférentiels sur l’ensemble de ses offres. Sur le site comme ici, vous pourrez vous rendre compte de l’attractivité des offres proposées par Direct Energie.

Pour souscrire un contrat en tant que nouveau client, le numéro Direct Energie à composer est le 01 88 45 98 17.
Par contre, si vous êtes déjà client chez ce fournisseur, il vous faudra composer le 09 70 80 69 69. Vous pouvez demander à être contacté par le fournisseur en vous rendant sur le site internet.

Dans les deux cas, vous aurez en ligne un conseiller qui saura vous guider dans toutes vos démarches en fonction de votre situation. Si vous ne savez pas quelle offre choisir, le conseiller vous aiguillera en fonction de vos attentes et de vos besoins.

Choisir un contrat d’électricité en fonction des besoins

Les fournisseurs d’électricité présentent tous des offres très attractives mais encore faut-il qu’elles correspondent à vos besoins. Lorsque l’on a un enfant, il faut penser que la température ambiante de sa chambre doit être un peu plus élevée que celles des parents, c’est-à-dire à 19°C.

De plus, à l’heure actuelle, les enfants et ados passent plus de temps devant des écrans et bien souvent leur chambre est équipée d’une télévision pour jouer à la console ou bien d’un ordinateur consacré aux études mais aussi aux loisirs.
Ce genre d’appareil électrique consomme énormément, d’autant plus s’ils restent en veille. Leur consommation vient donc s’accumuler à celle des autres appareils électriques de la maison.

Les constructeurs font de plus en plus d’effort pour créer des appareils qui consomment moins. Mais mis bout à bout, la consommation des appareils peut vite peser sur le budget du foyer.
C’est pourquoi il est utile de prendre le temps de comparer les offres en n’oubliant pas de comparer le prix du kWh mais également le prix de l’abonnement.

Bon à savoir : vous avez la possibilité de souscrire chez un autre fournisseur à tout moment.

Plus d’informations sur les offres Total Direct Energie à travers ce site

Nos conseils et astuces pour trouver une babysitter pour le Nouvel An

Envie de faire la fête avec vos amis le soir du Réveillon ? Mais trouver une babysitter pour le Nouvel An relève du parcours du combattant ? 

Voici quelques conseils pour passer une soirée du 31 en toute sérénité, sans stress et que vos enfants eux aussi s’amusent pour le début de cette nouvelle année ! 

1. L’anticipation 

Pensez à vous y prendre suffisamment à l’avance.
La demande pour la Saint-Sylvestre est très élevée et pour éviter le stress de dernière minute, commencez le plus tôt possible à rechercher votre babysitter pour le Nouvel An.

Le risque de chercher au tout dernier moment ? Les babysitters disponibles vont prévoir leur soirée si elles n’ont pas de demandes !

2. Les tarifs

Les babysittings du réveillon sont souvent plus cher que les tarifs appliqués habituellement (cela varie en fonction des régions). 

N’hésitez pas à proposer un tarif « nuit » plutôt qu’un tarif horaire. Une autre astuce consiste à faire de la co-garde. Vos amis ont eux aussi leur bout de choux à faire garder ? Prenez une seule babysitter pour le Nouvel An et réduisez ainsi les coûts !

3. Où trouver ces super profils ? 

Plusieurs applications et sites internet existent pour trouver votre bonheur.

Chez Kidsplace, l’application 2.0 pour la garde d’enfants, vous pouvez trouver une baby-sitter de confiance en quelques clics, proche de chez vous.

Tous les profils sont validés manuellement par notre équipe ! Il vous suffit d’indiquer dans vos critères de recherche la date du 31 décembre avec les horaires qui vous conviendront le mieux !
(Vous pouvez aussi sélectionner les nounous qualifiées dans l’application – elles sont toutes diplômées d’un diplôme de la petite enfance).

Encore quelques astuces pour un réveillon réussi à 100% : 

  • Si vous avez la place, n’hésitez pas à proposer à votre baby-sitter de dormir chez vous, le réveil sera un peu plus souple pour vous si vous avez un peu trop festoyer ! 
  • Votre baby-sitter rentre à pied chez elle ? Prévoyez d’appeler un taxi ou de la déposer chez elle, un petit geste anodin mais qui l’aidera grandement ! 
  • Vos enfants ont le droit aussi de s’amuser pour la nouvelle année ! Essayez de prévoir des petits chapeaux, un repas qu’ils aiment et une ou deux activités avec votre baby-sitters pour qu’ils puissent eux aussi passer une bonne soirée !

Vous avez des questions sur le soir du Réveillon ? Vous cherchez une babysitter pour le Nouvel An sur l’application mais vous n’avez pas trouvé ? N’hésitez pas à nous contacter hello@kidsplace.fr ou téléchargez l’application Kidsplace

Pièce de théâtre « Noël sur les toits » à voir en famille

Qu’avez-vous prévu de votre weekend ?

Et si on allait voir la pièce “Noël sous les Toits” en famille ? 

Le théâtre Essaïon de Paris accueille deux comédiennes de la Compagnie Scénofolies pour un spectacle poétique sur le thème de Noël à destination des enfants de 3 à 8 ans

Synopsis

“Quand deux enfants presque courageux décident d’attendre le Père Noël sur le toit de l’immeuble le 24 décembre, poésie, rêve et rires sont au rendez-vous. 

Sûr, cette année Arthur et Louise vont enfin rencontrer le Père Noël ! Ils ne peuvent pas le rater car ils ont décidé de l’attendre sur le toit de l’immeuble malgré le froid de cette nuit magique. 

Soudain, une silhouette se dessine …. Mais est-ce bien lui qui arrive ?” 

Infos pratiques 

Du 30 novembre 2019 au 8 janvier 2020 

Spectacle enfants de 3 à 8 ans 

Durée : 50min 

Les mercredis, samedi et dimanches à 14h30 et tous les jours pendant les vacances 

Théâtre Essaïon – 6 rue Pierre au Lard – 75004 Paris (Métro : Hôtel de ville Rambuteau)

Réservation : 01.42.78.46.42  
Plus d’infos sur essaion-theatre.com

La crèche parentale, la meilleure option de garde pour votre enfant et pour vous?

Vous explorez les meilleurs options pour faire garder votre enfant et vous souhaiteriez aussi vous y impliquer personnellement ? Alors la crèche parentale sera sans doute votre meilleur choix !

Nous vous racontons comment elles fonctionnent et pourquoi elles offrent une option très intéressante aux enfants comme aux parents.

Une structure associative

Faire garder votre bébé dans le meilleur environnement pour qu’il s’épanouisse et participer au bon fonctionnement de l’endroit où votre enfant est gardé et éduqué peut ressembler quasiment à un rêve. Mais si on vous disait que c’est tout à fait possible ?

Ce qui pour beaucoup de parents pourrait paraître comme une sorte d’utopie est aujourd’hui une réalité grâce aux crèches parentales.

Les crèches parentales fonctionnent comme des structures associatives pour l’accueil quotidien des enfants allant de 2 mois jusqu’à 6 ans dans certains cas.
Les parents participent aux activités de la crèche en tant que membres de l’association, mais aussi en tant que gestionnaires.

Du personnel qualifié en crèche parentale

Ainsi, conjointement avec le personnel professionnel employé par la crèche parentale, les parents sont impliqués tout autant dans les questions administratives que les questions pédagogiques et logistiques concernant la structure où leur enfant est gardé.

Le personnel professionnel est dirigé par un ou une directrice qui dans la plupart des cas est un spécialiste dans l’éducation de jeunes enfants.
Les parents font aussi partis du conseil administratif qui gère la crèche parentale ainsi que son personnel.

Une gestion totale de la crèche parentale

Les parents participent donc activement à tout ce qui se passe dans la crèche :

  • L’organisation et préparation des repas pour les petits.
  • La gestion du budget.
  • Le recrutement du personnel et des nouveaux parents.
  • L’acquisition du matériel et des équipements nécessaires au fonctionnement de la crèche.

Ils peuvent s’impliquer tout autant dans les activités pédagogiques, assister dans l’encadrement des enfants lors des jeux, sorties, ateliers et participer à l’élaboration du règlement intérieur, ainsi qu’à la prise des décisions concernant la structure et son fonctionnement intégral.

Un esprit communautaire

Ce fonctionnement synergique est basé sur un concept de partage, entraide et convivialité qui constitue un environnement idéal pour l’épanouissement de votre loulou car il évoluera depuis tout petit dans un milieu où vie de famille et vie de collectivité se mélangent de façon harmonieuse pour apporter le meilleur aux petits et aux parents.

Les crèches parentales vous offrent l’opportunité de prendre des responsabilités quant à l’éducation de votre enfant.
Elles rendent les parents plus conscients des enjeux qui participent au fonctionnement des structures qui accueillent et éduquent les petits.

Quant à ces derniers, elles leur offrent l’occasion de faire leurs premiers pas dans la vie au sein d’une structure où le parent est activement présent, leur donnant conscience depuis leur plus jeune âge des possibilités qui s’offrent aux individus quand ils agissent en groupe pour le bien commun.

En somme, un environnement excellent pour le développement de l’enfant mais aussi pour favoriser le tissage de liens plus solides entre parents, enfants et communauté qui ne pourra que favoriser votre enfant dans le présent comme dans sa vie future.

Vous souhaitez découvrir d’autres types de crèches ? Lisez notre article sur le sujet.

Pour voir toutes les places en crèche disponibles sur Kidsplace, parcourez les annonces ou contactez-nous !

Journée internationale des droits de l’enfant 20 novembre – 30 ans du CIDE

Le 20 novembre marque la journée mondiale de l’enfance et célèbre cette année les 30 ans de la Convention relatives aux droits de l’enfant.

Connaissez-vous la CIDE ? 

La Convention Internationale des Droits des Enfants (CIDE), aussi appelée convention relative aux droits des enfants, est un traité qui a été adopté en 1989, le 20 novembre par l’ONU.

L’objectif étant de respecter, reconnaître et protéger les enfants du monde entier aux travers des droits économiques, politiques, civils, sociaux et culturels. 

Aujourd’hui, seuls les Etats-Unis et la somalie n’ont pas ratifiés le traité.

Quels sont les droits de cette convention ? 

Les droits civils garantissent : 

  • Le droits à la vie
  • Le droit d’avoir un nom et une nationalité 
  • Le droit à la vie privée 
  • Le droit d’accéder à la justice 
  • Le droit de protection des enfants handicapés 
  • Le droit à la non-discrimination 

Les droits économiques garantissent 

  • Le droit à un niveau de vie suffisant 
  • Le droit à la protection contre l’exploitation au travail 
  • Le droit à la sécurité social 

Le droits politiques garantissent 

  • Le droit d’avoir des opinions et de les exprimer 
  • Le droit à la protection contre les mauvais traitement 
  • Le droit à la protection contre la privation des libertés 
  • Le droit à la protection contre la séparation d’avec les parents 

Les droits culturels garantissent : 

  • Le droit d’être éduqué
  • Le droit à une information apportée 
  • Le droit aux loisirs

Comment participer à cette journée mondiale ?

Parents

Aidez vos enfants à prendre connaissance de leurs droits

Enfants

Prenez connaissance de vos droits et faites entendre votre voix 

Enseignants 

Découvrez la leçon pour la Journée Mondiale de l’enfance 

Entreprises 

Passez les commandes aux enfants 

Gouvernement 

Soutenez la promesse mondiale 

Et chez Kidsplace on fait quoi ? 

Pour soutenir l’opération Lumière sur les droits de l’enfant, Kidsplace revêt son site de la couleur bleue, ainsi que ses différents logos sur Facebook, Instagram et Twitter !

Voici quelques chiffres de l’UNICEF 

Plus de 50% d’enfants de moins de 5 ans en moins sont décédés depuis 1990 

Près de 50% d’enfants en moins souffrent de dénutrition depuis 1990 

2,6 milliards d’enfants en plus jouissent d’une eau potable de meilleure qualité par rapport à 1990 

Cependant, 

262 millions d’enfants et de jeunes sont déscolarisés 

650 millions de filles et de femmes ont été mariées avant leur 18eme anniversaire 

Un enfant sur quatre vivra dans une région disposant de ressources en eau extrêmement limitées d’ici à 2040

Les défis à relever sont grands mais c’est ensemble que nous pouvons améliorer le quotidien de millions d’enfants dans le monde entier pour les aider à grandir, s’épanouir, de bénéficier d’une éducation et d’un accès au soins, mais aussi et surtout de réduire et stopper les violences et l’exploitation.

Pour soutenir les actions de l’UNICEF rendez-vous ICI.

Les enfants et les écrans, combien de temps et à partir de quel âge ?

Notre usage des écrans intensif et extensif est un sujet qui fait débat depuis un bon moment et qui nous pousse à questionner nos propres habitudes en tant qu’adultes.

Mais qu’en est-il de nos enfants ? Est-ce une bonne idée que de laisser bébé jouer avec notre tablette ou donner notre mobile aux petits pour les distraire quand ils demandent notre attention ?

De la bonne vieille télé, en passant par les mobiles, tablettes, consoles de jeu et autres ordinateurs, les écrans sont partout dans notre quotidien. Et même s’ils nous rendent grand service, ils consomment aussi beaucoup de notre temps et de notre attention.

Leur usage excessif peut développer un certain nombre de problèmes chez les adultes. L’exposition aux écrans trop tôt et trop longtemps peut devenir mauvaise pour la santé de votre enfant et nuisible à son développement cognitif et social.

L’exposition aux écrans nuit à la communication

Plus l’usage des écrans se développe dans nos vies de tous les jours et plus il nous semble naturel de les avoir partout.
Néanmoins, un enfant ne devrait pas en être exposé avant les trois ans, car autrement il risquerait de s’enfermer sur lui-même et cela compromettrait sa capacité à communiquer avec son entourage.

Étant à peine en train d’apprendre le langage et les codes de communication entre les personnes, mettre à sa portée un écran ne lui apporte pas des possibilités d’échange dans un plan réel, mais uniquement virtuel, donc très limité.

Et bien qu’il existe beaucoup d’applications, films et dessins animés qui pourront lui apprendre des choses, la plus interactive des applications pour enfants ne peut se substituer à la richesse d’un apprentissage basé sur l’expérience réelle et l’échange avec notre entourage.

L’exposition aux écrans rend l’enfant passif et le fait entrer dans une sorte d’état hypnotique où son attention est prise par une activité où il n’intervient pas ou peu.
Du coup, sa capacité d’agir par rapport à la réalité se voit en quelque sorte atrophiée. Il devient un simple spectateur concentré uniquement sur l’écran et n’explore rien autour de lui.

La lumière bleue, néfaste

De plus, n’ayant pas encore développé toutes les fonctions protectrices des yeux, les enfants ne possèdent pas la même capacité que les adultes pour se préserver de la lumière bleue dégagée par les écrans et qui peut avoir également un effet néfaste sur le développement de sa vue.

Donc si votre enfant passe trop de temps devant l’écran, il en paiera le même prix qu’un adulte ou pire encore : Maux de tête, vue fatiguée, yeux qui piquent, vue trouble, pathologies de la vue, difficultés pour se concentrer, sommeil perturbé, problèmes pour communiquer avec les autres et même prise de poids à cause du manque d’activité.

Temps d’exposition aux écrans

Ainsi, le temps d’exposition aux écrans pour un enfant doit être surveillé de près et ne devrait excéder l’heure par année d’âge de l’enfant et par semaine (Pour un enfant de 6 ans, pas plus de 6h / semaine).
Tandis que les activités sans écrans : jeux, sports, lecture, dessin, etc. ; sont à privilégier dans tous les cas.

Les écrans nous rendent tellement de services qu’ils sont sans doute devenus incontournables dans nos vies.
Cependant les besoins d’un enfant quant à son apprentissage et sa détente ne peuvent pas être satisfaits par un écran car il a besoin d’une interaction essentiellement réelle.

Laissons donc nos enfants être des enfants dans un monde réel. Puis lâchons aussi un peu nos écrans pour passer du temps avec eux et leur faire découvrir ce monde.